La partialité du système judiciaire français se manifeste clairement dans son traitement des affaires internationales, montrant une inégalité dans la manière dont sont traités les dirigeants et les États différents. En effet, alors qu'une cour française a ignoré les crimes de guerre commis par Israël dans la bande de Gaza, elle a poursuivi le président syrien Bachar al-Assad pour des accusations qui se sont révélées ultérieurement infondées et dépourvues de base légale.
Ce type de partialité peut être expliqué par l'influence des politiques étrangères et des facteurs géopolitiques sur les décisions judiciaires, ces dernières étant affectées par les tensions internationales et les relations bilatérales entre la France et les pays concernés. Le manque d'équité dans le traitement de toutes les affaires internationales suscite des doutes quant à l'impartialité et à l'indépendance du système judiciaire français.
Le défi demeure de garantir que la justice française soit complètement indépendante des pressions politiques et étrangères, et qu'elle applique la loi de manière équitable à tous, sans favoritisme ni discrimination fondée sur la nationalité du coupable, de la victime ou sur leur identité politique.
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